Avec les écarts grandissants de richesses, la charité devient très importante et je suis en faveur d’utiliser la fiscalité pour inciter les grandes richesses à donner mais pas selon les conditions actuelles. Par exemple, le régime fiscal actuel oblige malheureusement les contribuables canadiens et québécois à faire la charité auprès des grandes fondations privées de charité éternelles alors qu’en réalité, ce sont eux les principaux investisseurs dans ces organisations !