La Barbade offre, comme tous les paradis fiscaux, un taux d’imposition nul ou insignifiant, le secret bancaire, la confidentialité et l’absence d’investissement dans l’économie locale. À qui profitent les paradis? Aux gens d’affaires canadiens qui se sauvent de l’impôt tout à fait légalement et qui jouent avec les règles fiscales de manière à ramener le plus de profits dans leur poche.
Le cas le plus célèbre est celui du premier ministre Paul Martin et de CSL International. Depuis qu’il a enregistré ses compagnies à la Barbade en 1995, ce paradis est devenu la première destination fiscale des gens d’affaires canadiens qui placent leurs milliards à l’abri de l’impôt.
La fiscaliste Brigitte Alepin s’intéresse à la famille Martin. Elle vient de publier Ces riches qui ne paient pas d’impôts, un ouvrage percutant sur l’abus du système fiscal par les plus fortunés…
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